Page I: Sens du mot hadd (hadoud) : "limites", "barrière".
Pages II-III: Délits de sang, contre l'honneur, délits de lucre; où le brigandage tient plus du délit politique.
Pages IV à 1: Délits de sang détaillés dans la Chariat.
Pages 2-3: Talion: "homme libre pour homme libre, femme pour femme"; Talion mosaïque.
Pages 10-11, 12-13 : La victime; pas de peine de mort pour le meurtrier d'un infidèle.
Pages 14-15: Tuer un homme libre pour un esclave.
Pages 16-17: idem pour une femme.
Page 19: Expression vague des versets coraniques.
Pages 20-21: "…vague de l'expression employée par le Coran"
Page 22-23, 24-25: Mode d'exécution du Talion.
Pages 26-27: "Talion pour blessure"; verset coranique; question: faut-il crever le dernier œil du borgne?
Pages 28-29: Divers types de blessures…; imprécision de la "médecine punitive"…
Pages 30-31: Exécution du talion pour blessure.
Pages 32-33: Versets coraniques.
Pages 36-37: Le meurtrier ou sa tribu doit payer la diya. (le prix du sang pour un meurtre commis).
Pages 38-39: La tribu, la milice = âqila.
Pages 40-41: De ceux qui forment l'âqila (et de qui doit payer la diya).
Page 42-43: Importance du montant de la diya (en camelins, or, argent …etc).
Pages 46-47: "homicide quasi intentionnel"
Pages 48-49: La diya de la femme, de l'avis unanime des docteurs de la foi islamique, est de la moitié de l'homme de sa religion (musulman pour musulman, juif pour juif).
Pages 50-51: Autres cas.
Pages 54-55: Quel membre de la tribu doit payer la diya.
Pages 64-65: Diya due pour une blessure non-intentionnelle, cas de la femme esclave.
Page 66-67: Logique orientale au caractère discursif radicalement différent de l'esprit occidental.
Pages 72-73: "…le fœtus mort, libre et musulman…"; "…le fœtus mort, libre et infidèle tributaire…" ( infidèle tributaire = soit juif, chrétien ou mazdéen vivant avec le statut de sujet de troisième rang dans un Etat islamique traditionnel, ou pré-colconial.).
Pages 76-77: "…le fœtus mort esclave…" (La civilisation islamique pré-colconiale étant esclavagiste, sans remords, le droit islamique, avec une logique imparable, prend en compte tous les aspects de la question.)
Pages 78-79: Le serment cinquantenaire; où le Prophète paya la diya sur ses propres chameaux.
Page 88-89: Où le droit musulman ne punit que l'infraction à l'interdit divin dans l'infraction aux mœurs, et non pas le sentiment de dol ressentit par la victime.
Pages 90-91: zina
Pages 92-93: Versets coraniques au sens contradictoires et peine contradictoires.
Pages 94-95: Peines justiniennes (l'empereur romain Justinien, 6e siècle ap. JC.), hébraïques (juives) et romaines (période républicaine et début de l'empire) contre l'adultère.
Pages 96-97, 98-99, 100-101: Définition du crime de zina.
Pages 102-103: Les peines encourues; Ali, selon Bokhari (hadiths): flagellation, puis lapidation.
Pages 104-105: Lapidation ou flagellation? Les deux?
Pages 106-107: Technique: comment lapider?
Pages 108-109: Exemples du Prophète.
Pages 110-111: La flagellation.
Pages 112-113: La plus grande honte qui soit pour les sémites: la honte sexuelle.
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